• POUR MÉRITER UNE CHOSE PAREILLE?

    MAIS QU'EST-CE QU'ON A FAIT AU BON DIEU

    Le film. Bon, populaire, populix, basé sur des clichés, des stéréotypes, avec ses dialogues percutants, ses blagues potaches, un peu lourd quand même à la fin. Pas de rires gras, que des rires intérieurs, sous cape.

    Bref ! Revenons à nos moutons. Euh, aux brebis égarées, assoiffées de pouvoir, tels des extra-terrestres, les pieds ne touchant plus la planète terre. Exit les valeurs, la morale. Un seul Credo : Le Dieu Pognon.

    À force de chamailleries : « T’as volé, t’as menti, t’as triché. Je ne sais rien mais je dirai tout ! », les voilà tous cloués au pilori, de bâbord à tribord.

    Débandade, désintégration, implosion, explosion… Allez zou, en garde à vue, en examen. Beaucoup de bruit. Et puis, on dira « Tout ça pour ça ? » grâce à une lessive 100% politik qui lave plus blanc que blanc.

     

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • MAIS PAS DÉSESPÉRÉE

    LA SITUATION EST GRAVE...

    Il était une fois un château dans lequel cohabitaient de preux chevaliers, des courtisans à l’ego sur dimensionné, pris dans un tourbillon de toute puissance.

    À sa tête, un roi que l’on disait mou, indécis, sans charisme, nommé par défaut, à la place d’un favori pris en flagrant délit d’accident de savonnette dans une salle de bain.

    Sous les ors de la poudrière, les courtisans se font autant de révérences que de coups bas. Entre le clan des bannis (ceux qui croquaient un peu trop de chocolat suisses et les fétichistes de souliers vernis) et le clan des futurs bannis, une guerre froide se fait rage. C’est à qui aura la peau de l’autre.

    Au milieu : des groupies, semant la zizanie. Ajoutez à cela, une armée de redoutables ennemis s’entredéchirant, attendant leur heure au pied du pont levis. Et puis soudain, stupeur ! L’entrée triomphale de Jeanne d’Arc, armure étincelante, cheveux au vent, laissant les protagonistes marris.

    Le choc, la débandade ! Y a péril en la demeure. Quoi faire? Où? Quand? Comment?

     

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • UN TRAIN PEUT EN CACHER UN AUTRE

     

    GARE UAX TRAINS

    Une question d’arrière train trop large ? Pas de quoi en faire un fromage ! Suffit de suivre un régime, pour amaincir sur les hanches. L’été approche, ce ne sont pas les régimes qui manquent. Ducon etc.

    Il y en a un qui consiste à raboter la culotte de cheval, voire les côtes, par frottements intenses successifs, jusqu’à ce que l’objet du délit puisse se présenter dignement, la tête haute, sur un quai de gare.

    Les régimes coûtent cher. Qui est responsable de cette prise de poids incongrue ? Qui va payer ? Ceux qui n’ont pas prévu ce gonflement anormal près des côtes ? Pas un wagon de solutions à ce véritable désastre.

    Peut-être un TER-thon  ou un Rame-thon pour financer le dernier régime à la mode : le rabotage !

     

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • DE GRÂCE !

     

    LE SYNDROME LÉONARDA

    - Allô, Monsieur Le Président.

    - C’est encore vous Léonarda ?

    - Non. C Jérôme. Bonjour Salut. Dis-moi comment ça va ?

    - Que voulez-vous au juste ?

    - Je suis un pèlerin attaqué par des requins. Des ennemis communs à vous et à moi.

    - Que voulez-vous que je fasse ? Que je vide la mer de tous ses requins ?

    - Je veux juste que vous vous occupiez des requins à ma poursuite.

    - Je ne suis pas Dieu. Adieu. Désormais, vous marcherez à l’ombre.

    Lire la suite...


    votre commentaire
  • MONSIEUR LE DIRECTEUR DES IMPÔTS

     

    MA DÉCLARATION

    Je vous jure sur la tête de ma tortue Félicie, quand elle ne rentre pas la tête dans sa carapace, que :

    * Je n’ai pas touché de pots de vin, ni de bakchich, ni de dessous de table en 2013. D’ailleurs, je ne possède pas de table, juste une vieille cantine qui me sert de buffet de temps en temps.

    * Je ne suis pas propriétaire d’une résidence primaire, secondaire, encore moins tertiaire. Cf photo ci-contre.

     

    MA DÉCLARATION 

    * Je ne possède pas de compte en Suisse, au Lichtenstein, aux îles Caïmans. Ni même aux îles crocodiles.

    * Je n’ai pas de yacht, ni de jet privé. Je ne voyage même pas en bétaillère, mais à la rame.

    MA DÉCLARATION

    Ma vaillante Félicie vous remercie vivement de votre entière compréhension. Dans l’espoir que vous prendrez ma déclaration avec le sérieux qui vous caractérise, je vous envoie gratuitement une ronde de bisous.

     

     

     

    Lire la suite...


    votre commentaire



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires